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Introduction 


Le tissu myofascial, longtemps considéré comme une simple enveloppe mécanique, apparaît aujourd’hui comme un réseau électriquement et électromagnétiquement actif, capable de transmettre des signaux bien au-delà de la seule conduction nerveuse classique.

Sa matrice extracellulaire, riche en collagène et en eau structurée, présente des propriétés de semi-conducteur biologique : les charges électriques peuvent s’y déplacer par conduction protonique et par couplage électromagnétique, créant un maillage de communication interne.

Dans ce contexte, certaines hypothèses avancent que le fascia pourrait fonctionner comme un système cohérent, où les signaux électriques et électromagnétiques interagissent de manière non-locale.

En s’inspirant du concept d’intrication quantique — phénomène par lequel deux systèmes restent corrélés instantanément quelle que soit la distance qui les sépare — on peut envisager que les réseaux fascials, par leur structure fibrillaire et leur hydratation, facilitent des corrélations rapides et globales entre différentes régions corporelles.

Ainsi, le fascia ne serait pas seulement un support mécanique, mais un organe quantique :

  • Mécanique : distribution des contraintes selon les principes de la tenségrité.
  • Électrique : conduction et modulation des potentiels bioélectriques.
  • Électromagnétique : émission et réception de signaux dans des gammes de fréquences biologiques.
  • Quantique : maintien de corrélations fonctionnelles rapides, potentiellement analogues à l’intrication, permettant une adaptation posturale et motrice quasi instantanée.







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